vendredi 16 août 2019

Vers le MONT DOL en empruntant le circuit du marais noir

Fin mai, une randonnée ornithologique à la journée ... sous la houlette de Michel, notre passionné dans ce domaine.

Le marais de DOL qui couvre 12000 ha est un paradis pour les oiseaux. Il est composé de deux parties :

  • Le marais noir constitué de tourbe.
  • Le marais blanc constitué de tangue (limons, sablons et débris calcaires très fins) et situé en dessous du niveau de la mer a un sol plus fertile dédié aux cultures céréalières, prairies et roselières. Le drainage est assuré par des canaux appelés "biez" qui, autrefois, permettaient de transporter du bois ... Le biez du milieu, long de 3,5km est délimité par 2 écluses à ses extrémités.

Nous avons effectué de nombreux arrêts pour écouter et essayer de reconnaître les oiseaux. L’œil et l'oreille étaient sans cesse en action.
Nous avons vu :
Aigrette garzette
 Alouette des champs
DolAlouette_des_champs.jpg Bergeronnette grise et bergeronnette printanière
DolBergeronnettes.jpg Coucou gris, le voleur de nid
DolCoucou_gris.jpg Faucon crécerelle qui se distingue par un vol rapide et puissant
DolFaucon_crecerelle.jpg
Grive musicienne au plumage d'un brun marron, blanchâtre en dessos et jaunâtre sur la poitrine
Grive draine
DolGrive_draine.jpg
Héron cendré d'une envergure de 175 à 195 cm
Héron cendré - Ardea cinerea - Grey Heron
Nous avons entendu :
Bruant zizi : écoutez ici

Busard des roseaux : écoutez ici

Phragmite des joncs : écoutez ici


Une petite halte sur le pont.












Le GPS indique que nous avons parcouru 11,2 km. "Nous sommes encore loin du Mont-Dol ?" dit l'une d'entre nous. Une réponse encourageante "On arrive !... La meilleure façon de marcher, c'est de mettre un pied devant l'autre et de recommencer"."
Quelques instants plus tard, qu'apercevons-nous ? Le moulin à vent du Mont-Dol.



Allez, courage ! Nous sommes tout prêts. Voici le village et son église Saint-Pierre.


Une étape importante nous attend : entreprendre l'ascension du mont.
A mi-parcours, nous admirons un magnifique panorama sur le marais et la ville de Dol-de-Bretagne.
Le Mont-Dol, massif granitique, culmine à 65 m d'altitude. Une légende raconte la formation du relief :
"Gargantua se promenait dans la baie du Mont-Saint-Michel et se sentit gêné dans sa botte. Il l'enleva pour chasser les cailloux qui le gênaient. C'est ainsi que les trois rochers provenant de la botte de Gargantua ont donné naissance au mont Saint-Michel, au rocher Tombelaine et au mont Dol".
Au sommet de la Tour de Notre-Dame de l'Espérance, une vue majestueuse sur la baie au nord, de Cancale à Granville, en passant par le Mont-Saint-Michel et Tombelaine.


Face à l'étang coloré par de ravissants nénuphars, la pause pique-nique est fort appréciée.

Encore une légende ... qui raconte la formation de cet étang :
"Un jour le diable (très présent à Mont-Dol) construisit sur un rocher un immense palais (le Mont-Saint-Michel). Saint Michel voyant cela et jaloux du malin construisit au sommet du tertre, dans la nuit, un magnifique château de verre. Une fois terminé, il proposa au diable un échange. Le malin, impressionné par la beauté du monument, accepta sans hésitation. Mais au petit matin, le palais commença à fondre puisqu'en fait, il était non pas en verre mais en glace. Les eaux ont donc ruisselé et formé un étang que l'on connaît aujourd'hui sur le sommet du tertre".
Nous nous dirigeons vers Le Vivier-sur-Mer.

Deux oiseaux, foulque macroule et tadorne de Belon sont observables près de l'eau.


Nous franchissons le GR34. A Hirel, nous apercevons des chars à voile.


Quittons le GR34 pour rejoindre La Fresnais.
C'est une commune de 2300 habitants qui fait partie du canton de Cancale; son nom signifie "lieu où poussent les frênes".
Un arrêt à l'église, proposé par Christine qui nous relate l'histoire de ce monument classé "Monument historique" le 14 septembre 2015.


De l'édifice primitif, dédié dès 1130 à Saint-Méen et à la Sainte-Croix, il restait encore quelques vestiges dans l'ancienne église; laquelle en forme de simple croix, n'offrait rien d'intéressant. On y voyait les armoiries des prieurs de la Trinité de Combourg sur les principales vitres de l'église. Elle renfermait jadis de nombreuses pierres tombales. L'église actuelle a été construite sur l'emplacement de l'ancienne église, détruite car jugée trop dangereuse pour accueillir les fidèles.
En 1890, Monsieur Arthur Régnault, architecte rennais, réalise les premiers plans. Les travaux commencés en 1893 furent achevés en 1899. L'église de La Fresnais est représentative de la première période romano-byzantine (Un espace intérieur plutôt byzantin et l'extérieur plutôt roman).



En 2007, quelques vitraux détériorés ont été remis en état.Lors de ces travaux, il a été constaté que l'ensemble des vitraux entraient dans une phase de dégradation accélérée due à la proximité de la mer et de l'air salin. Les ferrures, victimes de la rouille avaient tendance à pousser sur les vitraux et provoquer des déformations et des casses. L'étanchéité n'était plus assurée, les plombs avaient perdu de leur rigidité.

Le circuit (sur terrain plat) en boucle se termine. En résumé : 23,32 km et énergie = 2430 kcal.


Très belle journée appréciée par tous.

Aperçu en images (cliquez pour agrandir)

samedi 20 avril 2019

JOYEUSES PÂQUES

Joyeuses Pâques

PÂQUES annonce le printemps
Avec sa palette de surprises.
La nature s'éveille.
Elle se coiffe de couleurs.
BLEU est le ciel

JAUNE vif est le colza

MAUVE bleuté est la jacinthe des bois

BLANC rosé est le magnolia

BLEU lilas est la glycine

BLANC pur est la cardamine des prés

BLEU intense est le céanothe

ORANGE est le pavot de Californie

VERT pâle ou intense est le paysage

Pour combler cette fête,
Le soleil est de retour.

Les oiseaux chantent à tue-tête
Les fleurs s'étirent en douceur
En dégageant des parfums délicats.

Ding, ding, dong !
JOYEUX WEEK-END de PÂQUES !

Tous les clichés ont été pris lors de nos récentes randonnées.

Aperçu en images (cliquez pour agrandir)

 

mardi 9 avril 2019

A SAINT-BRIAC-SUR-MER, le GR34 se dévoile ...

Le programme des "Randonneurs castins" annonce une rando sur cette commune.

Du parking du Frémur, nous longeons le balcon d’Émeraude, le Béchet, la Grande Salinette. Ah ! Nous apercevons un nouvel escalier. Hélas, sa construction n'est pas finalisée.
Alors, demi-tour, nous allons récupérer le sentier du littoral un peu plus loin pour atteindre la plage de la Petite Salinette et la plage du Perron. Nous pouvons y accéder.

Quel beau sentier ! Il est parfaitement aménagé et très agréable, avec une vue exceptionnelle sur les Ebihens.



A droite, une curiosité ... Sur une butte, se dresse une petite bâtisse qui ressemble à une chapelle.

Quel privilège ! Elle bénéficie d'une vue imprenable sur l'île Agot.

Au fil du sentier,




Pointe de la Haye, pointe de la Garde Guérin qui fut longtemps un poste d'observation et de défense. Elles nous sont plus familières.
Nous avons opté pour un circuit en boucle qui a l'avantage de nous remémorer le passé.
En traversant le centre-bourg, les maisons nous révèlent qu'autrefois Saint-Briac sur-Mer était un village de marins. Sur les murs extérieurs de l'église, sont sculptés des maquereaux car les marins ont financé en partie la reconstruction de l'église.
A la prochaine fois, pour gravir le nouvel escalier qui certainement, sera confortable.


Un grand bravo pour ce travail. Toute personne sera ravie et appréciera d'observer ce" beau tableau marin" accompagné d'un bol d'air vivifiant.

lundi 1 avril 2019

Bienvenue à MONCONTOUR



55 randonneurs se sont inscrits à la découverte ou redécouverte de cette petite cité de caractère qui a un charme médiéval.
Arrivée : 10h sur la place de la Carrière.
Nous avons 2 choix : un circuit de 8 km "Le cri de la chouette" et un circuit de 12km "Le cri de la chouette à rallonge ..."(sur les communes de Moncontour, Plémy, Hénon).
Le saviez-vous ?
La locomotive de l'ancienne ligne de chemin de fer était surnommée la chouette parce qu'elle émettait des sons stridents.
Dans le pays de Moncontour, se concentrent des demeures nobles et bourgeoises. Nous en avons admiré quelques-unes :

  • Le château de Bellevue datant de la fin du XIXéme siècle est un des plus majestueux grâce à ses imposantes tous d'angle.


  • Le château des Granges, une des demeures de parlementaires, fut reconstruit en grande partie, au XVIIIéme siècle. Son esplanade fut jusqu'au siècle denier, le cadre des fêtes mondaines, lors des célébrations de la Pentecôte.


Ces deux châteaux sont des domaines privés.
En empruntant le GR de Pays entre Gouët et Gouessant, nous découvrons le village des Alleux. Un village très typique avec ses maisons du XIIIème et XIVème siècle. Ici, les terres appartenaient à des petits propriétaires fonciers ne dépendant d'aucun seigneur. Par conséquent, ils ne devaient aucune redevance.
Nous nous dirigeons vers la Ville Norme. (Aucune erreur, ce hameau existe bien à Plémy) où coule un ruisseau.


Et le village du Gué-Beurroux dont les maisons sont remarquables avec leur demi-tour en façade arrière.
Maintenant, nous longeons un long mur en pierre qui clôture le domaine du "Vauclair". Le manoir et la chapelle dont la porte gothique est classée monument historique existent toujours. Il possède un remarquable vestige du XVème siècle, le portail du Vauclair.
Une pause pour se souvenir...



12h45, une petite sensation de faim se fait sentir. Alors, pressons le pas.





Entrez...


En s'installant dans ce restaurant, nous sommes déjà dans une ambiance moyenâgeuse (des objets médiévaux décorent les murs).







Un repas excellent (avec des produits frais et locaux) servi par de charmantes dames. Un grand merci pour l'accueil.





L'après-midi est consacré à la visite Moncontour. C'est une ancienne cité fortifiée, située sur un éperon rocheux d'une hauteur de plus de 80 mètres.
Rendez-vous, devant l'Office de Tourisme où est installé un pupitre sur lequel est noté le circuit dans sa totalité. Au sol, un clou représentant Robin le Ménestrel nous indique les directions à suivre.


Le château
Le château fort érigé au XIIème siècle par la famille de Penthièvre se développe autour d'une enceinte à quatre tours. Un donjon carré symbolisant le pouvoir politique des seigneurs vient renforcer le contrôle de l'accès à la cité. Richelieu, ministre de Louis XIII, ordonna la destruction du château en 1626.
La Poterne Saint-Jean (porte la plus ancienne)
Cet ouvrage de pierre séparait la cité des faubourgs du sud. A proximité, dans les faubourgs Saint-Michel et Saint-Jean se trouvaient les différentes corporations de métiers.
Le Moulin Saint-Michel
Il y avait quatre moulins : deux au XVIIème siècle, un au XVIIIème et un au XIXème qui a été restauré en maison d'habitation. A l'époque médiévale, les activités vont bon train, certains parvenaient même à être "au four et au moulin". Les moulins étaient alimentés par le bief (ancien canal) qui prend sa source depuis un lac artificiel en Plémy. L'eau était un élément essentiel pour le travail du cuir et de la toile. Sur le versant opposé (en Trédaniel), se trouve l'Ecce Homo", chemin qui aurait été emprunté, autrefois, par les condamnés à mort pour atteindre le lieu de supplice.


Les remparts
Éprouvés, lors des conflits de la guerre de Succession de Bretagne, les remparts actuels datent du XVème siècle. cette enceinte est ponctuée de treize tours dont onze subsistent. Elle subit des dégâts, lors des guerres de la Ligue (1588-1589); la plate-forme fut démantelée en 1626.


La porte d'En-Bas située à l'est, constitue avec la porte d'En-Haut, l'un des accès de l'enceinte de la cité. Face à l'augmentation de la circulation, elle a été détruite.
En remontant, rue du Bel Orient, nous pouvons admirer l'Hôtel de Ville qui est l'ancien Hôtel de Kerjégu où habitait François Montjarret de Kerjégu, maire de Moncontour de 1815 à 1829 et député des Côtes du Nord de 1824 à 1830.




Musée du Costume dans une maison à colombage.


La place de Penthièvre
C'était la place du marché. Il y avait les halles aux bouchers, les halles aux toiles et tout autour se dressaient des stands sur structure en bois. Pour utiliser un étal, les marchands devaient s'acquitter une taxe auprès d'une autorité civile (seigneur) ou religieuse.
Moncontour était réputé pour sa foire aux chevaux et son marché au fil de lin. Tisserands et marchands de toiles de lin exportent leurs produits vers l'Espagne, les Indes, via port de Saint-Malo et Lorient. La spécialité de la région est la BERLINGUE, toile faite de lin et chanvre. Dans le bassin que constituait Saint-Brieuc-Corlay-Pontivy-Moncontour, l’activité de la toile occupait, dans les années 1789, plus de 35 000 personnes.


L'église Saint-Mathurin
Elle adopte un plan particulier de par l'implantation d'un beffroi dans l'angle nord-est et l'extension de son bas-côté sud en 1620. Le beffroi aurait eu deux fonctions : la surveillance de la cité (poste de guet) et l'accueil de la communauté urbaine. Le clocher date du XXème siècle. Aux influences flamandes et italiennes, cette église a des trésors : Une collection de six vitraux remarquables réalisés entre 1520 et 1538, le vitrail de St-Mathurin, St-Yves, Ste-Barbe, St-Jean-Baptiste, l'Arbre de Jessé classé monument historique en 1890, la maîtresse-vitre classée monument historique en 1962.


Place du Martray
Martray signifie Martyr en vieux français. Sur cette place étaient exposés les condamnés à mort le lundi, jour de marché et de grande influence. Ensuite, ils étaient emmenés en charrette jusqu'au chemin escarpé "l'Ecce Homo" où ils étaient pendus. En 1494, il y eut 5 condamnations à mort.


Entre le XVème et le XVIIIème siècle, il y eut beaucoup de constructions en pan de bois, mais peu à peu, elles laissent la place à la pierre. Des maisons possèdent une base de granit et une façade en pan de bois symétrique sur les étages.



Les enseignes réalisées en fer forgé ont toutes une histoire à nous raconter. En voici quelques-unes.






































Le saviez-vous ?
L'Hôpital St-Thomas de Villeneuve a un EHPAD avec 268 résidents dont 58 en unité spécifique Alzheimer, un Foyer de Vie avec 64 résidents.
Salariés : 243 Équivalent Temps Plein.
L'origine : la Congrégation des Sœurs Hospitalières de St-Thomas de Villeneuve fut fondée à Lamballe, en 1661.
En 1662, arrivée des Sœurs à Moncontour qui reçoivent par donation un petit hôpital en ruine et une chapelle. Elles ont pour objectif de recueillir et soigner les pauvres, vieillards et infirmes. Agrandissement des bâtiments et en 1914, ouverture d'une école.
En 1982, le Préfet de la région autorise la création d'un Foyer de 125 lits pour adultes handicapés.
En 2005, ouverture de l'EHPAD.
En 2010, création d'une unité de maladie d’Alzheimer.


Connaissez-vous le mythe "Bras de Fer ?
François de la Noüe dit "Bras de fer" né, au XVIème siècle, dans le pays de Retz. Capitaine huguenot et homme de lettres, il fut blessé au siège de Fontenay le Comte et dû être amputé du bras gauche.
Un maréchal ferrant de la Rochelle lui confectionna une prothèse métallique; ce qui lui valu le surnom de "Bras de Fer".
Fidèle compagnon d'armes d'Henri IV, il fait le siège de Lamballe. Lors de l'assaut final, il fut blessé gravement par une flèche en plein front. Il est transporté à Moncontour pour y recevoir des soins. Il décède en août 1591.
Henri IV dira : "C'était un grand homme de guerre et encore plus, un grand homme de bien. On peut assez regretter qu'un petit château ait fait périr un capitaine qui valait mieux que toute une province".
La cité de Moncontour lui a rendu hommage en apposant une plaque commémorative au pied du château.

Randonner dans un écrin de verdure riche en patrimoine,
Partager un repas dans une ambiance médiévale,
Déambuler dans les venelles et ruelles bordées de monuments historiques, de maisons à pans de bois, d'enseignes colorées ...
N'est-ce pas une journée magique !


Nous remercions les encadrants (Annie, Patrice, Pierre et Claire ont reconnu deux fois les circuits. En effet, à cause de certains chemins impraticables, ils se sentaient dans l'obligation de modifier les parcours).

samedi 30 mars 2019

Sur les sentiers de SAINT-JACUT-DE-LA-MER


Les 2 groupes de randonneurs du mercredi ont rendez-vous au parking de la plage de la Manchette
De quel mois s'agit-il ?
Ah ! Voici une photo.

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Les gens sont sur la plage, assis confortablement dans leur chaise longue, revêtus d'une veste...
Nous devons être en avril.
Vous avez tout faux.
Nous sommes le 13 février 2019.
Incroyable ! Et, pourtant c'est vrai.
L'hiver s'apprêterait-il à passer le relais au printemps ?
Empruntons le GR34 en direction de la Pointe de Ste-Awawa"qui abrite le port de la Houle Causseul ou port du "maqueriau". On y implorait Sainte Awawa de nous donner du poisson.
Un arrêt s'impose.
Quel bonheur d'admirer cette magnifique vue !




En face, de l'autre côté de la Baie, nous contemplons LANCIEUX, SAINT-BRIAC-SUR-MER
Avec cette bouffée de joie, nous continuons à marcher.
A la pointe du Chevet, l'archipel des EBIHENS, surnommé l'archipel paradisiaque.
A marée basse, on peut découvrir l'île, en y allant à pied.
Sur l'île, une TOUR érigée en 1694 par le comte de Pontbriand et construite d'après les plans de Vauban.
Elle fut financée partiellement par un impôt perçu sur les prises de maquereaux réalisées lors de certains jours de fêtes chômés.
Un second vestige, la chapelle de l'ANGE GARDIEN (de toutes les marées), construite en 1699.
A l'extrémité de l'île, les rochers "LES HACHES" où d'importants vestiges gaulois furent découverts. Ces gallo-romains étaient installés pour y exploiter le sel marin.
A l'est, l'île AGOT qui est un refuge d'oiseaux marins.
En se dirigeant vers le cœur de la presqu'île, nous apercevons l’Abbaye de Saint-Jacut qui doit son nom au monastère fondé par St Jacut, au Vème siècle.
Il a été restauré en 1875, après son rachat par des Sœurs de la Congrégation de St Méen-Le-Grand (35).
Aujourd'hui, c'est une maison d'accueil (hébergement de 150 personnes).
Avant de terminer la boucle, nous croisons le second groupe. Quelques échanges conviviaux ...


Nous rejoignons le parking. Tous ont apprécié cette magnifique rando ensoleillée.

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